mother takes control of the house (TRC)

MOTHER TAKES CONTROL OF THE HOUSE

T'es davantage déçu que fâché, bien que ce sentiment ne soit bien loin dans la carte des émotions qui cherchent à se tailler un chemin vers la surface à ce moment précis. Ton avertissement n'a pas suffit puisque @Jaxen continue de manière verbale et tu le dévisages sans un mot. Rapidement suivi de @Shadow qui n'est visiblement pas plus rapide entre ses deux oreilles et un long soupire t'échappe à la mention du prénom de Blaze. Énervé, tu pinces l'arrête de ton nez entre tes yeux, levant ta seconde main libre dans les airs. « C'est sérieux ? J'adore Blaze, une femme magnifique, mais ça reste que vous vous tapez dessus pour une femme ? Vraiment ? Moi qui croyais qu'il n'y avait pas d'enfants à Varakes ! » Tu lèves les bras en l'air au même moment où Makfire fait apparition et y'a au moins une autre personne ici qui partage ton agacement, bien qu'elle le démontre de façon plus drastique en se tirant des lieux. « Mak, attends. » Ta voix se perd face à son dos qui s'éloigne, @Seth décidant de la suivre et tu tournes la tête sur la porte des mille et une nuits qui s'ouvre à nouveau. @Blaze fait son apparition cette fois-ci et tu ne sais pas où tu as signé pour faire partie de ce grand drama. @Carmélo prend la demoiselle en charge, ce qui te laisse le champ libre pour choisir ta direction. Tu pourrais t'occuper de Jaxen, mais honnêtement t'as perdu toute once de sympathie en apprenant la raison de leur stupide dispute et t'as pas envie de passer ta mauvaise humeur sur @Balthier en revenant tout de suite. Pour le coup, tu choisis de les laisser se démerder comme des adultes et de plutôt prendre la direction de Mak et Seth.

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Les sermons découragés de @Jaeger et de @Makfire sont imbibés d'exaspération et de déception. Leurs paroles ne font qu'attiser sa colère, soit tout le contraire de ce qu'ils recherchaient en premier lieu. Putain, c'est pas de sa faute s'il s'est pris des coups dans la gueule par un des siens. Ou peut-être que si? S'agit-il d'une violente vengeance pour celui qu'il a foutu à la tronche de @Shadow lorsqu'il s'est souvenu sa femme et sa fille? Quel connard, de s'acharner à ce point sur lui, déjà anéanti par la vie. Il se déteste. Pour n'avoir pas été capable de les protéger du destin qui les attendait. Des larmes de rage lui montent aux yeux alors qu'il envoyait chier @Shadow, mais ce dernier lui balance un aveu en pleine tronche. Un truc qu'il ne comprend pas du tout. Un truc faux comme les poules qui ont des dents.   « Pendant que tu baises avec Blaze? Non merci. Tient toi loin d’elle connard. » Il n'a même pas le temps de répliquer quoique ce soit ou de se défendre, que le Dauthus s'éloigne, d'un pas colérique. Putain, il s'est pas battu pour une gonzesse. Il s'est pas battu pour Blaze? De quoi il s'agit, merde! C'est quoi, tout ce cinéma? En un rien de temps, le groupe qui s'était formé autour de lui et de son ami, ou plutôt de celui qui était son pote, se disperse. @Carmélo, @Seth et @Jaeger vont dans des directions opposés, alors que lui-même reste planté là, le visage couvert du sang qui coule encore abondamment. Fuck. Il se passe une main sur le nez, ce qui lui arrache un gémissement de douleur. P'tain, il est cassé. Tout comme il lève les yeux vers la porte, il y a aperçoit @Blaze. Son regard se réjouit un instant avant de s'assombrir rapidement. Il vaut mieux pas s'embarquer là-dedans. Shadow l'en a bien avisé, même s'il n'y comprends rien... Il pousse un soupir mélangeant colère et désespoir en se remémorant les paroles du Dauthus., mais ne parvient à aucun raisonnement logique. Coucher avec Blaze? P'tain, d'où il tient ça, sérieux? C'est jamais arrivé, et il doute que ça arrive jamais, en fait. Il se souvient de comment elle a réagit en le repoussant, l'autre soir et il s'attriste rien qu'à y penser. Il se penche sur le bord du trottoir, où il s'assoit. Il soulève son chandail légèrement jusqu'en haut de son ventre pour y analyser les dégâts du mieux qu'il peut dans l'obscurité de la nuit, mais oublie rapidement la douleur. Les visages de sa fille et de sa femme lui reviennent en tête et il se laisse aller à des émotions qu'il retient depuis le début de la soirée. Les larmes se laissent aller à couler sur ses joues, se mélangeant au sang séché et au sang qui continue de couler. Jaxen se prend la tête dans les mains et sanglote comme un vrai gamin, mais n'y peut rien.. Les émotions l'ont pris violemment. Soirée de merde.

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On s’est battu pour une gonzesse. Ouais, so what? C’est pas n’importe quelle nana, c’est @Blaze. Et quiconque fait partie des cobras sait qui elle est et ce qu’elle peut représenter. Le fait est, je ne savais pas qu’elle pouvait représenter autant pour moi… et encore moins qu’elle représentait quelque chose d’autre qu’une colocataire pour @Jaxen. Enfin, j’espère pour sa survie qu’il ne la baise pas que pour le plaisir. Sait-il seulement qu’elle n’offre pas son corps facilement? Hell, elle m’a à peine offert ses lèvres après tout ce temps et elle…. Non. Vaut mieux ne pas y penser, j’ai de la bile qui me remonte dans la gorge et avec le whisky, ça a un goût assez ordinaire, croyez-moi. La porte de la salle de bain s’ouvre et j’ai envie de dire à celui qui vient d’entrer de foutre le camp rapidement, mais me ravise en te voyant @Carmélo. Merde, un cobra de plus ou de moins à avoir connu une intimité quelconque avec moi. J’ai envie de rire, mais j’en suis incapable. Il me semble qu’entre nous ce soit arrivé il y a mille ans. « Eh ben, t'as loupé une occasion de pas être con, on dirait. » Je te fixe et hoche finalement la tête avant de prendre une nouvelle gorgée. Puis, tu m’attrapes le visage et analyse mes blessures. J’croyais pas que qui que ce soit se souciait de moi après c’que j’viens d’faire, c’est une bien étrange surprise qui me laisse dans un état de confusion et de reconnaissance qui m’envahit. « T'as de la chance, j'crois pas que ce soit pété. Enlève ton t-shirt. Je vais te filer le mien. » Je te fixe encore un moment sans rien dire alors que tu retires une couche tel l’oignon que t’es avec tes soixante-quinze fringues même en été. Finalement, je retire ma veste, puis mon t-shirt souillé et attrape le tient pour le passer par-dessus ma tête en faisant gaffe de n’pas toucher mon nez au passage –au cas. « Merci mec… » deux mots tout simples qui renferment tellement plus de signification. Je ne te remercie pas que pour le chandail Carmélo, tu le sais ça, pas vrai?

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Différent du reste de la troupe, référant du passage à la loupe. Mélo s'en fout de quelle connerie, quelle fumisterie peuvent réaliser les membres des cobras. Il est pas là pour juger. C'est adjugé, il est là que pour purger le groupe de tous les judas. Pourtant c'est pas bouddha, il aime pas les coups bas. Et déteste qu'une nana soit la raison du débat, du combat. Mais il n'en parlera pas. Le choc après coup l'intéresse, qui cesse, qui se blesse, qui se confesse. Les cobras c'est une famille aux bras aveugles. Pas la peine d'essayer, les lions beuglent, meuglent, gueulent leur haine. Ici, on se malmène mais c'est éphémère. Mélo, il est là parce que le linge sale, ça se lave en famille, peu importe les saloperies, les tromperies. @Shadow c'est pas le méchant, pour lui. Il aurait du mal à pas comprendre sa violence. Le merci de Shadow, il le comprend au delà des mots et il comprend aussi ses maux. Mélo articule un hochement de tête, censé lui affirmer qu'y avait pas de quoi. Aussi bizarre que ça puisse paraître, son ombre hante les moindres décombres. Mélo aime les animaux perdus, blessés, c'est le genre à les ramasser. « Amène-toi, on va s'hydrater un peu. » S'hydrater ou se bourrer la gueule, c'est pareil. Il repasse sa veste et la ferme. Le froid le fait déjà frissonner, il lui faut un peu de boisson pour se chauffer. A la sortie des chiottes, il balaye l'endroit des yeux, il voit ceux qui se chauffe sur la piste, d'autres qui chauffent les places au bar. Il perçoit @Nessie sans s'y attarder et son regard croise celui de @Balthier. Il s'étonne de le trouver ici. Lui la colle de Jae, il se demande pas où est le chef ? Mélo se dirige vers le bar et s'assoit près du jeune homme pour commande une qui ravagera son corps.

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« Amène-toi, on va s'hydrater un peu. » J’hoche la tête sans trop savoir si j’en ai réellement envie. J’suis bien là au calme –même si j’suis dans les chiottes pour le coup. Ma bouteille pour moi tout seul et personne pour me poser de question sur ce qui vient de se passer avec @Jaxen, sur @Blaze, @Makfire… sur quoi que ce soit. Pourtant, je t’emboite le pas, rapidement arrêté dans mon élan par ce souvenir qui me frappe de plein fouet. Et c’est le cas de le dire. J’ai l’impression de me prendre un coup dans le ventre, un coup sur la gueule. Tout ce que je me prends en souvenir, je le reçois ici aussi. Je manque de force, jamais suffisamment puissant pour désarçonner mon adversaire. Mais merde, c’est un putain de géant pour se prendre des coups de Dauthus sans broncher? Et Sofie, qui est là quelque part. J’veux lui parler, mais j’peux pas. Il m’en empêche, me frappe à nouveau. J’me relève à chaque fois malgré tout, coriace et impossible à arrêter. Il m’enlève mes dogtags, me crachant que je ne les mérite pas et je reviens à moi dans un éclair de lumière agressante. Je cligne des yeux, ne comprend pas, regarde autour. J’suis aux mille et une nuits, mon cœur bat à tout rompre. J’dois foutre le camp d’ici, tout d’suite. Je ne rejoins pas au bar @Carmélo et ne demande rien à personne. Je sors simplement en posant la bouteille sur la première table que je croise et je disparais dans la nuit.

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Ces regards curieux me regardent et j’ai la nette impression qu’ils peuvent sonder mon âme. Ils savent quelle connerie je viens de commettre. Ils savent. Ce nœud au creux de mon ventre semble me le prouver. Pour être franche, je ne sais pas pourquoi j’ai dit un truc pareil. J’étais en colère contre Shad d’être ce Don Juan qu’il a pourtant toujours été. J’avais peur que mon cœur ne soit endommagé par sa faute. C’est pourquoi je l’ai repoussé, comme je sais si bien le faire, pour me préserver. @Jaeger part à la poursuite de @Makfire et de @Seth. Mak, ma Mak, a ce point en colère qu’elle s’est volatilisée dans la nuit. La pauvre est presque aussi mal au point que moi, ces derniers temps. Je m’en veux de ne pas être en mesure d’être davantage présente pour elle. Je l’aime tant, cette brunette au tempérament de feu. Des mains se posent sur mes épaules et mon regard plonge dans des yeux familiers, @Carmélo. « Hey. Y'a rien d'irréparable, pas même tous ces nez qu'on a pété. Tu te morfondras plus tard, assume et répare tes conneries. » J’aurais ri, tu sais. J’aurais levé les yeux au ciel comme je sais si bien le faire et j’aurais rigolé en pensant à toutes ces fois où on s’est retrouvées partenaires dans des bagarres. Or, j’en suis incapable maintenant. Je me sens perdue et vide. J’hoche tout simplement la tête, un rictus aux lèvres. Il entre dans le bar et je me retrouve seule avec toi. Je me tortille, embarrassée. Je me contente de te regarder de cet air que seuls les coupables arrivent à reproduire. Tu t’assois sur le bord du trottoir et regarde les dégâts en dessous de ton t-shirt. Mon cœur se serre lorsque tu te recroquevilles sur toi-même. Tes sanglots parviennent à mes oreilles et j’ai du mal à respirer. Putain, j’espère que tu ne pleures pas par ma faute… Non. Merde. Non. Je te rejoins et m’accroupis devant toi. Tu caches ton visage avec tes mains, mais je vois les larmes en dessous. Je n’ai besoin d’aucun contact pour ressentir cette détresse qui t’habite. Mon cœur bat la chamade et des larmes salées s’installent aux coins de mes yeux. C’est, la gorge serrée, que je passe ma main gauche de façon rassurante dans ta crinière dorée. Je vois le visage d’une petite fille et je ressens cette putain de tristesse qui détruit tout sur son passage. Un sanglot s’échappe d’entre mes lèvres et je t’enlace. « Veux-tu qu’on rentre à la maison? » Pour la première fois depuis le début de notre colocation, je te confirme que  mon chez moi est désormais ton chez toi et, ce, jusqu’à ce que t’en aies marre. Je suis désolée, @Jaxen.

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Seul au monde, il sanglote à ne plus pouvoir s'arrêter. Il lui semble avoir tout perdu. Il est survivant d'un monde immonde dans lequel il ne veut être. Mourir pour permettre de vivre aux deux plus grands amours de sa vie? Il le ferait sans même y réfléchir à deux fois. Ses mains se remplissent de larmes et sa gorge se noie au travers de tous ces sanglots qui le secouent violemment. Son esprit se perd parmi les événements de la soirée et les souvenirs qui l'accablent. Un silence se fait autour de lui. Et même s'il était entouré de gens, il n'entendrait rien. Il ne veut rien entendre, pour tout dire. Le sang sèche lentement sur son visage. Les dégâts sont nombreux et ça ne doit pas être joli à voir. Ses épaules se secouent au rythme de ses sanglots qu'il ne retient plus. Comment le pourrait-il? C'est plus fort que lui, il lui faut évacuer toute cette tristesse, cette douleur. Son corps frissonne au contact des doigts dans ses cheveux. Inutile de relever les yeux pour savoir de qui il s'agit. @Blaze. La seule qu'il se devait d'éviter ce soir, mais la seule aussi qu'il ait envie de voir. « Veux-tu qu’on rentre à la maison? » Elle l'enlace de ses bras rassurants et il s'y blottit, comme un enfant. Il continue de sangloter, prisonnier d'une force inconnue qui l'incite à se libérer de cette puissante détresse. Son visage dans le cou de sa colocataire, il y respire sa délicieuse odeur et se sent tout de suite apaisé. Il se sent à son tour tellement vulnérable, et pourtant à la fois tellement pathétique. Il n'a aucune idée en réalité de ce qui s'est passé ce soir et de ce qui a conduit @Shadow a s'acharner sur lui et à le mettre dans cet état. Mais pour l'instant, il ne veut pas penser à ça. Comme toute réponse, il hoche la tête tout en demeurant dans les bras de Blaze. Il s'y sent au chaud, il s'y sent bien. Rien ne l'y ferait partir. Oui, il veut rentrer à la maison. Avec elle. Avec toi, Blaze.

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Tu te blottis dans mes bras et je resserre mon étreinte sur tes épaules. La dernière fois que nous nous sommes parlés, c’était moi qui étais vulnérable. J’allais mal et j’avais besoin de toi, de ta chaleur. Maintenant, les rôles sont inversés et je découvre que je ne suis pas la seule à cacher une fragilité infinie. Nous sommes pareils, Jax’. On se ressemble tellement que ça me fait peur. Tu sanglotes et je ressens ta détresse. Elle fait écho à la mienne… Je caresse ta crinière blonde au creux de mon épaule et j’ai peine à refouler la larme qui coule sur ma joue droite. Toi aussi, tu traînes le poids d’un deuil non fait. Je me sens égoïste de m’être concentré entièrement sur mes malheurs et d’avoir abandonné les gens que j’aime. Makfire a besoin d’aide elle aussi. J’aimerais tellement être une meilleure amie, une meilleure personne que je ne le suis présentement. Tu hoches positivement la tête alors que je te caresse le dos du bout des doigts. Je reste un petit moment ainsi, ta tête sur mon épaule, comme si j’avais peur de te briser. Mon front de fraye un chemin vers ton épaule et je prends une grande respiration. « On y va », que je te murmure avant de me séparer de toi. @Jaxen

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Tu es peut-être la femme la plus fêtarde qui soit, tes yeux de lynx ne manque pas un morceau des allées et venues de tous. Et puis, n'avez vous pas les meilleurs places pour remarquer tout cela, toi et @Lyra? Et comme tu le sais, tu iras clairement faire ta fouineuse plus tard, lorsque t'aurais fini de t'échauffer sur toutes ses chansons choisies avec soin.

Voilà que les verres arrivent et juste le regarder te fais t'émerveiller devant la chose colorée. Tu lèves ton verre et remercie @Balthier avec un baiser soufflé, tout en riant de voir celui-ci aussi influencé par le rythme de la musique qui le fait un peu se bouger derrière le comptoir. Vous ne voyez rien de ce qui se passe dehors, mais vous continuer à mettre l'ambiance pour essayer de garder les clients à l'intérieur. Tu n'as pas envie que les histoires de famille deviennent le sujet de conversation des habitués, même si c'est inévitable...

Car, tu sais pertinemment que les batailles, c'est pratiquement un des attraits touristiques les plus primés pendant la tournée des bars, alors lorsque tu vois plusieurs clients se mettre près des portes, tu comprends qu'il se passe quelque chose. Tu attardes un peu ton regard dans cette direction avant de trouver quelqu'un qui s'y connait plus en électronique que toi pour qu'il mette une chanson qui déchire.

Ça semble en détourner certains, mais tu te doutes bien que c'est violent et à voir la gueule des arrivants, tu sais clairement que la bataille était entre deux grands gaillards : Shadow et Jaxen. T'oses même pas y croire tellement ça semble incohérent pour toi, mais bon, tu étais un peu comme cela aussi. Tu réglais parfois tes règlements de comptes avec des coups pour aussitôt oublier les tracas et t'excuser. Ça ne pouvait être que cela, tu te disais. Cependant, ça semble plus sérieux que tu le pensais, car alors que @Carmélo se dirige vers le bar suivi un bref instant de Shadow, tu vois le deuxième partir.

C'est plus toi qui le gêne, ça t'en ai convaincu, mais bon, il devait avoir une sale gueule pour faire aucun signe d'au revoir et manquer le reste de la soirée. Tu regardes Mélo, et finis par t'asseoir sur le bar, les jambes croisées et en te penchant vers lui en lui disant : « Ta proie vient de détaler comme un lièvre. » De ton menton, tu pointes Shadow qui prends la porte, alors que tu n'as pas revu Jae, Mak ou même Jax et Blaze rentrer à l'intérieur. « Ça te dérange si je te tiens compagnie, je crois que le moment est venu de souffler et de boire un coup. », ajoutes tu, un peu essoufflée et avec un sourire malin sur les lèvres.
 

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Tu regardes @Balthier se dandiner derrière le comptoir tandis qu’il te lance : « À vos ordres mademoiselle ! » Une fois de plus, tu lui souris et tu retournes dans ta danse, dans ton monde. Te déhanchant sur le rythme avec @Nessie, tu ne daignes revenir à toi que lorsque ton ami te tend une boisson à ton image, colorée et pleine de peps. « Tiens ma belle. » qu’il te dit, et une fois de plus, tu lui envoies un sourire. Mais alors que tu comptais continuer de danser, tu voies ta partenaire de choc s’arrêter et s’adresser à @Carmélo, rentré quelques secondes plus tôt. Le cobra tire une de ces têtes, et tu décides de laisser les deux discuter sans entacher ta joie de vivre ce soir. Tu descends du bar du côté de la maison et donnant un coup de hanche à Balthier, tu lui lances tout en sirotant ta boisson : « Quelle hécatombe, il n’y a presque plus personne ! » L’ambiance endiablée d’il y a quelques instants semble être déjà retombée, maintenant que la plupart des cobras ont quitté l’établissement. Tu as une pensée pour @Seth, qui aurait déjà dû être là, mais tu la chasses bien vite, persuadée qu’il a juste du retard. A nouveau, ton attention se porte sur Balthier : « Bon, puisqu’on est plus que tous les deux... Comment ça va la vie ? » Tu lui décoches un clin d’œil. Pour toi, le monde ne s’est pas arrêté de tourner.