journal de balthier

INFORMATIONS CONNUES ✲ ton meilleur ami se surnommait Del.
✲ tu as fait parti d'un groupe.

THÉORIES ✲ ici tu formules et écris sous forme de points des théories sur le passé de ton personnage. par exemple : ✲ je pense que x est mon frère.

Tu surveilles le feu qui réchauffe la soupe, tournant la tête lorsque tu entends le ton de conversation dans la pièce adjacente s'élever. L'accent espagnol familier raisonne à tes oreilles et tu n'attends pas de découvrir la raison de la dispute avant de te lever pour franchir le seuil de la porte arrachée. « J'ai même pas besoin de demander ce qui se passe pour savoir. Lâchez-le. » T'es pas surpris de voir l'un de vos alliés avec les mains fermement nouées au col du t-shirt de ton meilleur ami, celui-ci arborant une mâchoire et des poings crispés dans un désir évident de se défendre. Le type relâche ton ami avec un sourire moqueur qui tire le coin de ses lèvres, prenant la peine de lisser le vêtement de ses mains. « Oh, désolé. Je ne voulais pas choquer ta princesse, Del. » Te faire surnommer princesse suffit à te faire froncer les sourcils en t'approchant pour les séparer définitivement. N'ayant pas envie de jeter de l'huile sur le feu, tu tires Del avec toi en direction de la pièce d'où tu proviens, reprenant ta place à surveiller le repas pour le groupe qui gagne lentement en chaleur. « Ils ne te feront jamais confiance tant que je serais là. Je suis pas comme vous, tu le sais. » Sachant où ton ami tente de conduire la conversation, tu le coupes avant qu'il ne puisse proposer une nouvelle fois son horrible idée. « Tu ne vas pas partir. C'est temporaire, on ne va pas rester avec eux indéfiniment. » Tu te fais subtiliser ton boulot lorsqu'il tend la main pour agiter la soupe d'un air penseur. Tu ne peux lire ses pensées, ce n'est pas l'étrange capacité que tu possèdes, mais tu le connais depuis suffisamment longtemps pour lire son langage corporel. « Ne fait rien de stupide, je t'en prie. » Un sourire se dessine sur ses lèvres, sa tête se tournant dans ta direction. « Ah, pour ça, il est déjà trop tard. » C'est désormais ton tour de sourire, juste avant de le pousser doucement du bout de ta botte.

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