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Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO

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Carmélo


Carmélo
the royal cobras
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MessageSujet: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptySam 29 Juil - 3:33


Call me a thief, I want to steal your soul and devour it.
Apocalypse & Carmélo
La nuit pose son manteau comme un étau étouffant sur la ville qui s'étoffe quand soleil tombe. Hécatombe parmi les saints, en trombe sortent les seins et les malsains. Chaque vermine fulmine, domine et contamine son propre champ de mine. Une véritable danse avec le diable, c'est fort minable, c'est formidable. Le goût des égouts les plus purulents de l'humain qui ne sait pas se prendre en main, qui remet les bonnes choses à demain. Petite fourmi parmi les damnées des milles fours des enfers, Mélo ne sait pas quoi faire. Il procrastine, la nicotine dans les poumons. Il a promis une entrevue à Apocalypse, sans ellipse. Pourtant, il est là, foutu fumier qui refuse de faire face aux vérités. Rien ne va s'effacer. Il le sait. Et il crève d'envie de céder à tous ses désirs, il sait où le trouver et comment lui prouver ce qu'il a avancé. Seulement, cette haine qui se démène depuis le début est presque épuisée. En fait, morte et lui déporte sa peur de se tendre l'homme qui peut prétendre dévorer son âme. Il est en train de devenir sa came. C'est infâme, cette sensation que tout lui échappe. Sa raison, sa passion... tout n'est plus qu'obsession. Et si avant, il ne pensait qu'à son corps, pouvant se concentrer avec effort que sur l'aspect physique de son addiction, il fait maintenant l'addition de tout ce qui fait pression dans sa cervelle. Et c'est pas beau, ça lui colle à la peau. Il se demande sans cesse si les idées brun se pressent dans la mauvaise direction. S'il a succombé à l'appel des médocs, à la pelle de la drogue. S'il s'en est foutu dans la gueule. Ou plutôt combien ? Est-ce qu'il est pas mort quelque part ? Putain, il déteste avoir à penser ça sans être capable de faire le moindre pas vers lui. Il déteste chacun de ses rêves sensuels, chacune de ses pensées obsessionnelles, chacun de ses sentiments passionnels. Personne n'a jamais eu cet effet sur lui, du moins personne dont il se souvienne et ça lui parait peu conventionnel de vivre deux fois une telle chose dans sa vie.

Il a besoin de bouger, besoin de faire quelque chose de son corps souillé par la gangrène. La graine qu'il sème aujourd'hui être celle qu'il s'aime à voir jeter. Celui du travail, celui qui écaille les lois dans le détail. Son boulot de voleur pour donner aux bonnes œuvres. Il est en territoire de riches ; la zone portuaire. La nuit est bien avancée et ses quelques repérages l'attire dans un quartier qui donne voie sur le large. Il fait un appartement, puis deux. La sécurité n'est pas moindre, mais l'illusionniste à l'habitude. Aucune serrure n'endure ses soins bien longtemps sans craquer. Lorsqu'il entre dans l'appartement suivant, il est surpris de trouver un chien qui commence à lui grogner dessus. Ce n'est pas vraiment un problème pour cet amoureux des bêtes. Il calme rapidement l'animal, plus rapidement qu'à la normal, d'ailleurs. Ce chien doit être particulièrement adorable. Ou bien, c'est un chien qu'il connaît et qui le connaît. N'y tenant plus, il enlève ses gants en cuir pour caresser l'animal. Il perd un temps crucial avec l'animal qu'il ne fait qu'apercevoir dans obscurité quasi-totale. Il finit par se redresser pour commencer à faire du repérage. Comme d'habitude, il se faufile jusqu'aux pour voir si elles n'ont pas besoin d'un petit mirage. Et constater par lui-même si éventuellement, il ne serait pas seul dans l'appartement. Hélas, il trouve quelqu'un dans la chambre. Quelqu'un qui dort paisiblement dans le lit, le putain de lit dont la grandeur semble superflue au voleur. Ridiculement grand. L'homme qui est allongé dans les draps blancs captive rapidement le regard de Mélo. Il n'a jamais particulièrement prêté attention à ceux à qui il volait des biens. Pour lui, c'est tous les mêmes connards bourrés de fric. Mais là, cette vision pourrait lui refiler la trique. Franchement, c'était carrément ensorcelant, cette pâle lueur blanche qui traverse les baies vitrées qui met en avant la peau laiteuse du bel endormi. Le drap couvre miraculeusement et surtout jalousement son bassin et Mélo se demande si l'homme dort nu ou s'il porte un sous-vêtement. En tout cas, le fait qu'il soit seul dans ce linceul qui plonge dans les bras de morphée, ça parait presque inimaginable.
Ne pouvant détacher ses yeux de ce spectacle, Mélo pose son sac dans le couloir et s'avance dans la chambre. Il l'avait reconnu de loin, bien sûr mais de près, son visage assoupi est encore séduisant. Apocalypse. Mélo range ses gants dans les poches de son cuir, emblème des cobras. Puis, pris d'un élan de folie, il monte à bord du lit. A califourchon sur le brun encore endormi, il ne pense ni bandana noir qui couvre la moitié de visage, ni à la capuche de sweat sombre. Caché dans l'ombre de son identité de voleur, ses idées s'en vont loin dans chaque courbure du corps qu'il dévore du regard. Il le regarde d'abord attentivement, profitant du fait qu'il dort encore pour l'avaler sous son regard de braise. Et c'est seulement lorsque son entame le chemin de son cou, qu'il se permet un geste. Ça ne fait que quelques jours depuis la dernière fois, la marque est encore là. Ses doigts effleurent la surface violacée qu'il a marqué de ses lèvres. Un acte qui a pour but d'écrire un gros "don't touch him" sur sa personne. Sous son bandana, un sourire ravage son visage. Cette idée le ravi, étrangement. N'y résistant plus, il commence à caresser sa peau lorsque le beau aux bois dormants, ouvre péniblement les yeux sur lui.

Emi Burton
Apocalypse


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptySam 29 Juil - 22:33


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Apocalypse & Carmélo
Sa langue trace un chemin à la limite de ton bas-ventre et remonte jusque dans le cou. Il s’arrête, aspirant la peau pour la meurtrir, la marquer comme il sait si bien le faire. Puis, il repart en descendant, parcourant ta peau de baisers à la limite du supportable, jusqu’à atteindre une région jamais explorée jusqu’alors. Tes doigts retiennent fermement les draps, t’empêchant de prendre la fuite sous tant de plaisir. Sa bouche s’acharne à te procurer des sensations hors du commun. Indescriptible, est le mot qui décrit le mieux ce que tu ressens, alors que sa bouche monte et descend à un rythme effréné. La sueur coule de partout sur ton corps qui bouille, littéralement, t’encastrant dans les draps. Parfois, ou même souvent, un soupir s’échappe d’entre tes lèvres pour marquer ton plaisir. Son nom, tu le répètes de nombreuses fois, comme s’il soulageait à lui seul, les puissants picotements d’excitation dans tout ton corps. Carmélo. Il ne quitte plus tes pensées, il ne quitte plus tes rêves. Ses ongles qui s’enfoncent dans tes fesses t’embrasent. La braise qui parcourt la chambre grâce à la porte ouverte menant sur le balcon n’est pas suffisante pour calmer ce feu en toi. Tu exploses. Au sens figuré et littéral. Délivrance. C’est un plaisir si bon. Si bon de le découvrir, que jamais plus tu ne pourras te passer de ce plaisir, cet assouvissement d’un appétit qui ne se fait toujours que plus grand encore. Ta main dans ses cheveux le tire doucement, pour le remonter. Le poids de son corps se fait ressentir sur le tien et dans un sourire satisfait et repu, tu l’embrasses. Tes lèvres agrippent, mordent, mordillent, tiraillent. Son parfum et ce goût… ce goût de lui que tu découvres et qui t’enivres. Ce goût dont tu ne peux plus te passer. Dont tu ne veux plus te passer. Putain. Putain.

Un poids qui s’ajoute sur ton lit te tire doucement du sommeil. La confusion entre le monde des rêves et la réalité tarde à disparaître. Tu te serais étiré, comme tu le fais toujours au réveil, mais quelque chose t’empêche de mouvoir ton corps à ton aise. Sûrement encore Cerbère qui est venu t’écraser, comme il en a l’habitude. Comme si tu ne t’occupais pas déjà assez de ta brave bête, le démon noir s’entête à vouloir te faire comprendre qu’il est là. Qu’il existe. Que tu te dois de te préoccuper de ses besoins. Alors, lui qui ne se préoccupe que très peu des tiens et de ta nécessité en matière de sommeil… il se couche sur toi et t’écrase de tout son poids.

Alors, tu ouvres les yeux. Lentement, mais sûrement. Ils peinent à rester ouverts, signe flagrant d’un manque de sommeil. Avec tout ce que tu consommes, il t’est fréquent de passer des nuits blanches quelques jours d’affilés, pour ensuite ressentir les effets du manque. L’épuisement, la douleur aux muscles, aux articulations, la lourdeur… Tout te pousse finalement dans un sommeil long, presque éternel. Et le cycle recommence. Au travers de ces yeux à peine ouverts, tu remarques l’obscurité encore présente au travers des larges fenêtres entourant ton immense chambre, beaucoup trop vide. Tu les refermes. Le sommeil cherche à se faire une place de nouveau et menace de t’emporter avec lui encore une fois. Ce ne serait pas pour te déplaire. Ça te semble si facile, que de rejoindre Morphée… En bougeant sous la mince couverture qui recouvre ton corps, tu te rends compte qu’il ne s’agit pas de Cerbère. Encore un peu dans les vapes, tu pivotes la tête légèrement sur le côté, pour voir de qui ou de quoi il s’agit. Quel n’est pas ton étonnement de le voir sur toi, installé à califourchon. Tu ressens ses doigts sur ta peau et frissonne d’aise. Tu ne te souviens pas t’être endormi dans ses bras, la veille… Et pourtant, c’était si bon… Un sourire se dessine sur tes lèvres, et d’un geste endormi et las, tu passes une main dans ses cheveux, l’agrippant à la base, pour l’attirer vers toi. Tes lèvres passent sur les siennes et sillonnent son menton. Hum… il sent bon.

Puis… tu réalises qu’il porte un sweat. Que Cerbère jappe quelques coups, ici et là sur le bord du lit. Le coup de surprise et l’étonnement suffisent à te réveiller complètement. Tu sursautes finalement, le lâchant et le repoussant violemment alors que tu te tires la couverture sur ton corps dénudé. Et… réveillé. Parce qu’une partie de ton corps n’est pas du tout endormie. Tout prend son sens : ce n’était qu’un rêve. Un de ces rêves que tu fais toutes les nuits. Un de ces rêves qui t’envahit, qui ne te lâche plus. Un de ces rêves qui te donne la trique et qui fait naître en toi des émotions différentes chaque fois, que tu ne peux taire qu’au réveil, et même encore. Il t’obsède, et c’est le cas de le dire… Tu as réussi à mélanger les rêves de la réalité. Pourtant, ce rêve te semblait si réel… Sauf que là, c'est loin d'en être un. Le bandana recouvrant la moitié de son visage, tu prends peur. Tu n'es pas en état de te défendre.
«Put..putain. Qu’est-ce que.. que.. vous fichez là?! Chez moi... Co...comment v-vous êtes.. rentré? CERBÈRE!» Cerbère monte les pattes sur le lit et se met à aboyer, à grogner violemment, avec agressivité pour faire peur à l'imposteur. Pourtant, ces yeux... Ces yeux qui brillent dans l'obscurité, tu les connais. Tu les reconnais. Ils ont percé tout ton être, il y a de cela quelques soirs, dans une ruelle sombre du club output. Choqué, tu t'étires le bras pour tirer sur la chaîne qui allume une lumière sur la table de chevet à côté de ton lit. Quelle n'est pas ta surprise, ton étonnement de découvrir... Carrr...Carmélo?! Putain, qu'est-ce qu'il fiche chez toi? Comment est-il entré? Qu'est-ce qu'il te veut? Tout ça n'était qu'un mascarade et il est là pour se venger? Pour te menacer, encore? Pour te tuer, peut-être?

Emi Burton
Carmélo


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyDim 30 Juil - 23:39


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Apocalypse & Carmélo
Avoir la possibilité dans la réalité, d'apaiser la soif incommensurable qu'il pouvait avoir de lui, c'était impossible à définir. Il l'aurait bien dévoré, défloré alors qu'il était sous lui en train de dormir et qu'il était entré dans son appartement par effraction. Une fraction de seconde en plus et il n'aurait pas parié sur ses réactions. Il aurait fini par perdre le contrôle et mériter la taule pour une autre faute. Heureusement, le beau brun prend le bon train et le repousse avec une violence qui le pousse loin. Il cille, se rendant compte de quel imbécile il peut faire. Il est entré chez lui, c'était presque facile. Et même s'il ne savait pas que c'était chez le brun qui hante ses songes qui le rongent, il a fallu qu'il plonge. Qu'il se laisse séduire pour qu'Apocalypse puisse en déduire qu'il fallait le fuir. Comment il allait expliquer le fait qu'il était là. Comment lui dire qu'il est impliqué dans des vols et que là, en le voyant ainsi, ses fantasmes ont pris leur envol. Au lieu de le voler, il l'aurait violé. Putain il espérait qu'il exagérait. Qu'au combien son corps peut diriger parfois, il aurait dû à digérer l'effroi de ne pas s'arrêter quand il le faut. Apocalypse le rendait complètement fou, au point que son boulot finisse au trou. Il entendit et vit son ancien ennemi prendre peur et il se rendit compte que la situation pouvait être troublante du point de vue du brun. Il tourne des yeux affectueux vers l'animal dont il a autrefois pris soin au refuge. Il semble déjà avoir un fort lien avec Apocalypse, ce qui n'est qu'une suite logique à leur coup de foudre réciproque, sans équivoque. Ce jour là a sans doute été le seul où Mélo ne s'est pas senti irascible à la vue du brun. Il a manqué de le mettre dehors et au final, il voit à quel point il fait un maître en or. En percevant du mouvement du côté d'Apocalypse, Mélo braque son regard sur lui et il se demande quand est-ce qu'il allait lui coller un coup et le flanquer dehors. Dés lors qu'il allume la lumière, un aveuglement éphémère lui pique les yeux. Sa vue se stabilise au bout de quelques secondes, il ne tarde pas à entendre la saccadée d'Apocalypse qui gronde son prénom d'un ton interloqué. La loque morte de désir son regard qui a dévié sur le corps du beau mâle pour attirer son attention sur la situation anormale. Il veut des explications, pas le témoignage que t'as déraillé sur sa voix et que failli le violé. Réveille-toi ! Il fallait qu'il se concentre, qu'il se recentre. Sa main se lève pour ôter son couvre-chef avant de faire glisser son bandana autour de son cou. Ses pensées divergent vers son groupes, il ne sait pas quoi faire. Il est évident qu'il doit expliquer sa présence mais il ne peut pas révéler le fait qu'il fait partie des cobras. A la fois parce que ça pourrait éventuellement mettre en péril son groupe mais aussi parce qu'il n'y avait pas que des tendres en son sein. Il en était la preuve vivante. Il ne pouvait pas prendre le risque qu'Apocalypse puisse savoir trop de choses et que ça l'implique dans ses histoires. Avec un peu de chance, Apocalypse ignore tout de ces engeances. Il ignore que son blouson est l'emblème des cobras. Et il ignore tout des différents groupes qui hantent la ville. Avec ses activités, il était prêt à parier qu'il connaissait au moins les Lions. ❝ Je savais pas que c'était chez toi. ❞, commence-t-il sans trop savoir comment mentir exactement. Au moins ça c'était vrai. S'il avait su que c'était son appartement, il ne serait pas venu dans cet immeuble de bourge. Il aurait fui, comme d'habitude. Mais chaque fois qu'il est en face de lui, il est frappé de la même rude inaptitude à partir. Une fois de plus prisonnier de ses envies, ses désirs et ces yeux illisibles. ❝ J'vole pour subvenir à quelques uns de mes besoins. ❞ Ça doit la première fois qu'il ment à quelqu'un d'autre qu'aux flics. Et c'est pathétique, il est certain qu'il n'est pas convaincant mais il n'a pas vraiment d'autre choix que de le croire. C'est ce qui semble logique et tout ce qu'il acceptera de lui dire. De toute façon, il meurt d'envie de le distraire de ses explications et il ne tarde pas à le faire. S'avançant vers lui pour se pencher vers sa peau marquée du fer de ses lèvres, il mordille les suçons qu'il a pu lui faire l'autre nuit avant de souffler tout contre sa peau : ❝ En te voyant comme ça, nu dans ton lit, j'ai plus trop envie de voler quoique ce soit, si ce n'est toi pendant quelques heures... ❞

Emi Burton
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Apocalypse
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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyLun 31 Juil - 11:29


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Apocalypse & Carmélo
Le bandana qui recouvre la moitié de son visage et son accoutrement lui donnent l’air d’un criminel. Évidemment, tu sais qu’il n’a rien d’un ange. Déjà, tu savais qu’il volait de la drogue, puisque la raison première de toute cette mascarade, c’est bien une guerre de territoire. Il n’a rien d’un agneau non plus, si ce n’est que l’autre soir tu as découvert un autre aspect de sa personne, un autre trait de sa personnalité. Il n’est pas fait que de violence, de méchanceté et de haine, non. De la voir ainsi accoutré dans l’obscurité t’aura effrayé le temps de quelques secondes. Un réveil brutal, pas du tout banal, alors que tu es prisonnier des jambes et du corps d’un criminel entré par effraction chez toi. Que te veut-il? Une fois la lumière allumée, quel n’est pas ton soulagement de découvrir le visage de Carmélo, dissimulé par ce vilain morceau de tissu. Tu n’y vois que ses yeux… ces yeux éclatants, qui transpercent non seulement la nuit, mais aussi toute ton âme. Tu voulais le revoir. Et pour cause… Ce rêve n’en était pas qu’un, il était la réaction logique à tant de désir et à tant de plaisir en sa présence. Tu voulais le revoir, et voilà qu’il est là. Dans une situation plutôt illogique et anormale, mais quand ont-il commencé à agir normalement? Au travers de tes bégaiements interminables, le jeune homme retire enfin son bandana et se démasque entièrement pour te rassurer qu’il s’agit bien de lui. Pourtant, tu n’avais aucun doute en croisant son regard. Des yeux uniques qui t’auront transpercé l’âme et que tu veux sentir explorer partout sur toi… Encore là, tu repars dans les images de ton rêve, mais c’est loin d’être le moment. Loin d’agir comme une bête enragée. ❝ Je savais pas que c'était chez toi. ❞ À quelques reprises, tu clignes des yeux, cherchant à t’habituer à la soudaine clarté alors que quelques minutes auparavant, tu étais plongé dans une obscurité infinie. ❝ J'vole pour subvenir à quelques uns de mes besoins. ❞ Écarquillant les yeux, tu sens dans sa voix ou dans ses gestes peut-être, une certaine hésitation. Tu n’es pas très doué pour lire les autres. Tu as déjà bien du mal à te comprendre toi-même. Pourtant, cette hésitation et ce léger tremblement dans sa voix te laisse croire qu’il ne te dit pas toute la vérité. Qui es-tu pour juger? Tu bosses illégalement dans une ville close, entourée par un dôme et construite sur une multitude de règlements vous empêchant presque de vivre librement. Toi, tu fais ce que tu as à faire pour vivre, pour survivre, pour subvenir à tes besoins. Pas ceux des autres, mais bien les tiens. Cet appartement, tu ne l’aurais pas si ça n’avait pas été de ces médicaments que tu voles aux dépends des autres et que tu revends. Tu es qui pour juger? Pour faire des leçons de morale, alors que tu es aussi pire, sinon plus? «Et tu.. tu es chez m-moi.» C’est une affirmation sans but précis. Un fait, une remarque, une affirmation qui n’est ni un reproche, ni un questionnement. Au fond, tu es bien content qu’il soit ici, bien que tu ne l’avoueras jamais. À quoi bon?

Perdu dans tes pensées, le regard dans le vide orienté vers le visage aux traits inoubliables du criminel, tu tressailles en sentant ses lèvres, puis ses dents, plantées dans ton cou. Chaque fois qu’il fait ça… c’est l’extase. Ces traits rouges, ces marques maintenant bleutées ne disparaitront donc jamais, s’il persiste à s’attaquer à ta peau de la sorte. C’est instinctif, à ce geste répond ton corps tout en alerte, et ta main vient glisser contre sa nuque, attrapant au passage quelques mèches de cheveux à la base du crâne, et tu tires sur ceux-ci. Tu ne veux pas qu’il s’en aille. Ton corps entièrement dénudé le cherche, le veut. Celui-ci étant complètement recouvert du drap que tu avais recouvert sur toi quelques instants plus tôt, tu le fais glisser volontairement vers le bas, jusqu’à la base des abdominaux, là où se trouve la limite entre le ventre et le bas-ventre. «Main…tenant q-que t’es là… Vaut m-mieux en prr..profiter, hein?» À ton tour, de laisser ta trace. Il est si proche… Si atteignable. Si beau. Encore une fois en sa présence, c’est tout ton corps qui réagit à lui, en alerte à chacun de ses gestes, chacun de ses baisers, chacun de ses doigts qui coure sur ta peau. Tu glisses tes lèvres sur la ligne de son menton, frôlant la peau de son cou, atteignant le creux qui joint le cou à l’épaule. Tu tires sur ses cheveux pour le tenir en place, pour atteindre la partie tant désirée. Puis, tes dents se plantent dans la chair. Tu mordilles, puis tu suces, aspirant la peau dans ta bouche. Cela dure un bon moment. Tu perds le fil alors que tu t’enivres de lui. Une fois terminé, tu regardes la trace encore pâle, fier de celle-ci. Tu te passes la langue sur tes lèvres, tel une bête affamée. Ce que tu es, en fait. Tu es affamé de lui. «Il…il faut bien p-punir le.. le criminel.» Un sourire malicieux se dessine sur tes lèvres, laissant à l'interprétation de ces dernières paroles... Tu n’aurais pas pu rêver meilleur réveil, après tout…

Emi Burton
Carmélo


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyMar 1 Aoû - 7:37


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Apocalypse & Carmélo
La peau d'Apocalypse, fait partie de ces délices, de ces maléfices dont personne ne peut en oublier le supplice. Inspiratrice, elle pousse au vice, elle laisse des cicatrices au creux de l'édifice de l'âme. Damnée est cette dernière quand le seul désir qui macère dans les enfers de chaire de ses rêves, est un calvaire incendiaire. Le genre dont tout dépend, le genre pour lequel on pend son corps au bout de la corde de l'obsession, sans hésitation pour se cramer le cul dans cette passion, ablation de toute autre distraction. Transaction avec les démons comme Apocalypse qui ne trouvent satisfaction que dans l'attraction de deux corps en action. Il sent la main du brun s'accroche, tandis que sa volonté décroche et empoche des vagues chaleur qui détruisent sa caboche. Un sourire carnassier dévoile l'acier des dents qui maintiennent leur emprise sur sa peau éprise d'emprise. Apocalypse répond présent aux vestiges de cette nuit qui inflige encore aujourd'hui des litiges au creux de son esprit aux milles vertiges. Le cœur battant au rythme d'un désir déflagrant, Mélo fige son attente dans les paroles déconcertantes du beau brun. Difficile d'imaginer qu'il n'allait pas le mariner dans son jus après qu'il soit entré ici sans l'autorisation du juge. Il ne pensait pas qu'Apocalypse ne lui poserait aucune autre question. Les gens ont la propension de ne jamais se satisfaire de ses explications. Pourtant, il ment rarement, il dit les choses clairement. Ce n'était pas comme s'il aimait tourner autour du pot. Mais Apo n'est pas comme les autres. Encore une fois, il s'en rend compte et pas seulement pour ses réactions qui détournent son attention, mais aussi pour cette complication qui se fait en lui. Quelque chose sonne en lui, ça tonne trop fort, il ne comprend rien, perdu dans ces efforts de ne pas émettre un tort quand le brun commence à laisse glisser ses séduisantes lèvres sur sa peau. Il aimerait pouvoir se contenir et éviter le pire. Maîtriser le feu qui immole ses organes, profane son âme anciennement solitaire et solidaire. Le désir l'avale sans son aval et il dévale une pente insurmontable. Apocalypse le fait chuter et buter en plein contre son corps brûlant. Grognant son supplice, il sent les dents conspiratrices d'Apocalypse se planter dans son cou. Son cœur donne des coups accusables, coupables. Son corps entier tend vers l'outrancier, venant harponner ses cheveux courts entre ses doigts grossiers. Apocalypse se démène pour le rendre fou, il malmène sa peau et aliène son cerveau à tout jamais. Lorsqu'il peut le voir avec son air affamé, son corps infâme réagit plus vite. Ses paroles ont à peine le temps de lui vendre un rêve sans trêve pour ses idées brèves enroulées dans une dangereuse torture, que ses lèvres s'écrasent sur celles du brun et les marquent de leur morsure. Il n'a plus aucun contrôle, il frôle la folie profonde. Il se colle littéralement contre lui, lui offrant ledit baiser qui était censé lui faire comprendre que dans l'histoire l'être dégueulasse c'était lui et non l'inverse. Il force l'entrée de ses lèvres sans trop de difficulté et capture sa langue de la sienne, l'entraînant dans un balai sensuel à l'ancienne. Sa respiration se raccourcis à mesure que l'espace entre leurs deux s'amoindrit. Ses mains prennent d'assaut ce corps délicieux et peu silencieux. Une main se glisse sur son torse et amorce une descente. Encore totalement habillé, le voleur meurt de chaud et pour le grand frileux qu'il est c'est une sensation étrange. Toutefois, ce qui le dérange réellement, c'est qu'il ne peut sentir totalement le corps  du brun contre le sien. Il ondule contre lui, laisse tout son poids embrasser le sien dans une volonté intense de fondre son corps à celui d'Apocalypse. C'est une obsession, une prison, un besoin. Sa main glisse sur la cuisse du brun et relève sa jambe pour accéder à sa fesse dont un caresse la naissance. Il a perdu pied, quelque part entre Apocalypse et ses mots. Son souffle commence à se faire trop court et il brise le baiser pour respirer. Il mord son menton dans un petit jeu et se met à retracer son aine. Il redresse un peu la tête pour effleurer ses lèvres des siennes et c'est à leur orée, qu'il murmure, le débauché : ❝ Jusqu'à présent... c'est toujours moi qui te punissais pour empiéter sur mon territoire. ❞ Un sourire malicieux esquisse son visage alors qu'il se fait provocant. Il voudrait savoir de quoi est capable le brun quand il est sur son territoire à lui.

Emi Burton
Apocalypse


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyMer 2 Aoû - 15:12


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Apocalypse & Carmélo
Vos langues s’engagent dans une danse sensuelle et effrénée. Vos corps sont faits pour s’unir. Chaque fois qu’ils sont mis l’un devant l’autre, c’est l’effet d’un aimant qui les attire. Impossible de s’en séparer, de s’en éloigner. De toute façon, tu ne le veux pas. Jamais jusqu’alors le contact entre ses mains et ta peau n’a été aussi direct.  Personne n’a jamais eu cet effet sur toi et tu n’as sûrement jamais eu cet effet sur personne. Ta folie se porte bien dans un moment pareil. Tout ton corps tend vers lui, et même ton âme est prisonnière de son emprise. L’étau se referme délicieusement sur toi, et c’est trop tard. Trop tard pour te défaire, pour te sauver. Trop tard pour prendre tes jambes à ton cou et déguerpir. Tu sais ce qui t’attends. Non, c’est faux. Tu n’as aucune idée de ce qui t’attends. Tu es dans l’ignorance la plus complète. Tu veux que ce baiser ne cesse jamais. Il t’obsède. Autant le baiser que le personnage. Ici et là, ce sont tes dents qui s’agrippent à sa langue. Ta respiration est saccadée, mais tu ne penses plus à respirer? À quoi bon? C’est ton oxygène. Il te rend euphorique, complètement dingue. Chaque fois que tu le vois… chaque fois, ton corps réagit violemment pour une raison tout à fait inconnue. Tu cherches à combler ce vide qu’il laisse lorsqu’il disparaît et qu’il ne laisse qu’une marque derrière pour te rappeler qu’il existe. Une trace marquée au fer rouge de ses dents, du sang qui bouille dans tes veines et qui explose chaque fois qu’il est à proximité, qu’il te touche, qu’il t’effleure… C’est un véritable supplice, que de se réveiller chaque matin, avec la frustration d’avoir imaginé une scène torride, encore une fois, alors que tout ça n’était que dans ta tête. Chaque matin, tu te réveilles aussi en te remémorant les paroles blessantes qui t’ont été adressées dans ton souvenir : tarlouze, dégueulasse, immonde. Du coin de l’œil, tu aperçois ces cicatrices, vestiges de ce même horrible moment de ton passé. Et pourtant… malgré ces horreurs, tu te remémores d’autres paroles : celles du brun ténébreux : Ne laisse pas ton passé te gouverner. Tu n’es pas immonde, et encore moins dégueulasse. De savoir qu’il te veut, qu’il te désire, sans même avoir à le sentir au travers de son pantalon, rien que ça suffit à te réchauffer et à te dévergonder encore plus.

Ses mains partent à la découverte de ton corps, complètement nu. Complètement à sa merci. Tu es offert, comme sur un plateau d’or. Il n’aurait qu’à tirer un peu la couverture pour te dévoiler entièrement, pour te toucher, pour te voir. Rien que cette agréable et chaude idée te fait partir dans un monde tout autre et te fait perdre pied. Dans la pièce vide, on n’entend que le bruit de succion de vos bouches affolées et de vos langues qui s’entremêlent. La température grimpe à une vitesse fulgurante. Tu as si chaud et pourtant, tu es nu. C’est à en perdre la tête. Lorsqu’il brise le baiser, tu échappes une plainte mécontente. Pourquoi il s’éloigne? Il est encore à califourchon sur toi et pourtant, tu le sens loin, bien loin de toi… Mais il ne faut pas longtemps pour que tu le quémandes, pour que tu le désires ne serait-ce qu’un peu plus encore. Qu’est-ce qu’il te fait? Putain. Ce pouvoir et cet effet qu’il a sur toi, c’est à en perdre la tête. Toi qui est toujours si en contrôle. Tu soupires d’aise et d’extase lorsque ses doigts effleurent ton aine. Tu te mords la lèvre pour ne pas que des sons incontrôlables s’échappent d’entre tes lèvres, bien que ce soit plus fort que toi. C’est lui que tu as envie de mordre, de croquer, de dévorer. ❝ Jusqu'à présent... c'est toujours moi qui te punissais pour empiéter sur mon territoire. ❞ À voir son sourire, t’en arraches un à ton tour. Il a envie de jouer… De jouer avec toi, comme tu as envie de jouer avec lui. C’est donnant-donnant. Pour faire disparaître ce sourire irrésistible qui te fait littéralement craquer et qui te ferait perdre les pédales s’il n’en était pas de ta contenance exemplaire – mais ô si douloureuse, tu attrapes sa lèvre inférieure entre tes dents et tires dessus plutôt sauvagement. La bête qui sommeillait en toi jusqu’à présent comme à peine à se réveiller et c’est déjà qu’elle fait des ravages sur son passage.

Sans un mot – parce que tu n’as pas envie de gâcher le moment avec ces horribles bégaiements, tu tires sur le sweat de Carmélo. Dans ton geste, tu l’incites à lever les bras afin de pouvoir le passer par-dessus sa tête et de le lui retirer. Quelle n’est pas ta surprise de découvrir encore une bonne couche de vêtements qui te distancent de ton but ultime : sa peau. Tu répètes le même processus avec les chandails, jusqu’à retrouver un beau mâle torse nu, au-dessus de toi. Ici et là, tu viens explorer la peau de tes doigts empressés, parcourant celle-ci de petits et brefs baisers, aussi loin que tu puisses aller. Tu descends et remontes, explorant chaque parcelle de peau nue qui s’offre à toi. Tu fais ça un bon moment, avant de faire glisser tes doigts entre vos corps. Il te faut forcer un peu, puisque son poids s’écrase complètement sur toi. Atteignant enfin la ceinture, tu la détaches rapidement et descends la fermeture éclair de son jean. Tu frôles le bas-ventre dans un geste excité et impatient, mais remonte ta main curieuse jusqu’à toi pour arrêter le tout. Arborant à ton tour un sourire malicieux, tu jettes Carmélo sur le côté vide de ton immense lit, ce qui le dégage de toi. Il te faut tout le courage du monde pour mettre fin à tout ça, mais ça fait partie du jeu… Tirant sur la couverture, tu te retournes, maintenant assis sur le rebord de ton lit. Sans même lui adresser un regard, tu te lèves et t’éloignes vers l’immense porte vitrée qui mène sur l’extérieure, offrant ainsi au beau brun une vue imprenable sur tes fesses. Tu étires tes bras au-dessus de ta tête dans un bâillement, un sourire scotché aux lèvres, espérant toutefois que l’artiste n’en reste pas là et qu’il vienne te rejoindre…

Emi Burton
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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyJeu 3 Aoû - 8:11


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Apocalypse & Carmélo
Du bout de sa dague nommée drague, il le nargue. Il se fait séducteur et surtout conducteur de malice, provocateur. Il veut le voir, percevoir le danger sur lequel il a pu s'asseoir. Il veut tout de lui. Sa violence, sa clémence, sa puissance. Il veut le dévorer et en même temps se fondre en lui. Y'a rien de saint là-dedans et y'a pas besoin de faire un dessin. Ce qu'il veut transparaît chacun de ses gestes. Ça moleste son âme, déchire ses idées. Ses mains sont accrochées à lui dans une force qui amorce la bombe au creux de ses entrailles. Il le désire tellement qu'il en a mal et qu'il ne respire plus que l'air qui porte le goût du brun. C'est furieux, c'est délicieux. Et pourtant c'est encore un jeu. Le sourire qui étire les lèvres d'Apocalypse est un enfer de plaisir et il ne lui donne plus envie de l'immortaliser, juste de l'exorciser du bout de ses lèvres carbonisées par l'envie de dévorer cette bouche tant désirée. Mais ce sont les dents affamées d'Apocalypse qui viennent diffamer sa nature carnassière. Il mord dans sa lèvre inférieure et du geste le plus sexy du monde, il tire dessus. Un grognement que Mélo ne s'est jamais entendu pousser racle ses cordes vocales et il se sent de plus en plus pris par des envies incontrôlables.

Apocalypse est en train de le rendre chèvre dans ce bref rêve de trêve charnelle. Sa malice, un délice, une emprise. Il sent que le brun n'en a pas fini avec lui et il aime cette idée. Il l'aide un peu lorsqu'il veut le déshabiller mais finalement c'est le brun qui commence à maquiller leur nuit dans des tons de feu. Son petit jeu commence. Ses mains embarque sur son corps de démence et il peut sentir ses lèvres qui parsème sa peau avec abondance. C'est tellement bon, un bien-être sans précédent l'inonde. La pression, la frustration commencent à disparaître. Ses mains fourragent dans les cheveux du brun et s'y accrochent avec puissance. Chaque endroit qu'Apocalypse visite de ses lèvres tentatrices lance une armées de frissons dans son corps et des sursauts continus de son coeur. Fades paraissent ses expériences précédentes comparées à ses sensations présentes. Chaque soupir que l'artiste échappe empire ses désirs. Il a soif, il a faim. Il le dévorerait tout entier. Un regard fiévreux se porte sur le brun audacieux lorsqu'il commence à défaire sa ceinture d'un geste fougueux. Il lui arrache un frisson vorace lorsqu'il effleure son bas ventre. Il est sur le point de se laisser enivrer, de l'embrasser de plus belle lorsqu'il aperçoit un sourire qui lui laisse à peine le temps de comprendre qu'il ne pourra se défendre. Le brun a décidé de jouer et Mélo ne le saisit que lorsque son dos percute le lit. Un froid glacial mord sa peau et il grogne de mécontentement, tournant les yeux vers le dos que le brun lui présente. Dos massif, caractéristique de celui d'un mâle bien construit, qui ne tarde pas à échapper à son regard qui est rapidement attiré par autre chose.



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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyJeu 3 Aoû - 11:20


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyJeu 3 Aoû - 16:48

UN SOUVENIR DE CARMÉLO
Seul dans ton lit, tu fixes le plafond en silence. Tu sais que le sommeil ne te reviendra pas, c’est devenu ton lot depuis quelque temps. Une malédiction que tu acceptes parce qu’il s’agit de la seule chose qui t’assure un minimum de sécurité. Un bruit rompt le silence et tu relèves la tête. Toc. Toc. Toc. Tu en cherches la source et tu te retrouves devant la fenêtre pour apercevoir un caillou s’écraser sur la paroi vitrée. Tu comprends alors ce qui se passe et tu te presses d’ouvrir la fenêtre pour y passer la tête. Il est là, en bas de l’immeuble. Un sourire te fend le visage alors que tu le regardes en silence. « Tu vas me laisser entrer ? » Sa question te sort de ta contemplation et tu dois relever la tête, jetant un coup d’oeil à la porte de ta chambre. Tu es soulagé de la voir encore fermé, sans lumière de l’autre côté, mais cela ne change rien à la réponse que tu dois lui donner. « Je ne peux pas. Elle est là. » Cette réponse tu la lui sors bien trop souvent à ton goût, mais elle reste une excuse véridique. Ce n’est pas parce que vous n’avez jamais partagé la même chambre, que tu peux te permettre de lui manquer de respect de cette façon. Il ne semble pas surpris, ni même déçu, mais il ne part pas pour autant. À la place, il commence à escalader l’escalier d’urgence qui le mène assez près de ta chambre. « Elle se doute bien de ce qui se passe, puis vous ne vous aimez pas. » Et il a raison, c’est bien le pire. Tu t’écartes donc, le laissant pénétrer ta chambre. Tu te sens mal, l’impression de la trahir saisissant tes tripes, mais il a bien raison au fond, tu ne l’aimes pas.

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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyMer 9 Aoû - 22:04


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MessageSujet: Re: Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO   Call me a thief, I want to steal your soul and devour it • CARMAPO EmptyMer 16 Aoû - 22:50


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